Mailing 27.10.2019
[ogp-bw] News // Open Government Labore: Letzte Chance IBV
Dies ist eine Mailingliste des Arbeitskreises
Open Government Partnership Baden-Württemberg - betrieben von
Oliver Rack, Mitglied im Strategierat des deutschen Open
Government Netzwerks. Sie können unter dieser Adresse
Informationen an andere Open-Government-Interessierte in der
Mailingliste verteilen und in Austausch treten.
C'est une liste de diffusion de l'Arbeitskreis Open
Government Partnership Baden-Württemberg - géré par Oliver
Rack, membre du conseil stratégique du Open Government
Netzwerk Deutschland. À cette adresse, vous pouvez
distribuer des informations à d'autres personnes intéressées
par l'Open Government dans la liste de diffusion et échanger
des informations.
Je demande aux destinataires français d'utiliser DeepL ou un
autre bon moteur de traduction.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator
Liebe Freunde des Arbeitskreis OGP Baden-Württemberg,
nur noch wenige Tage bis zum Ablaufen der Frist des IBV im Rahmen
der Intiative des BMI zur Förderung von
Open Government Laboren
(s.u.). Das Verfahren ist niedrigschwellig, es lohnt auch für
Kurzentschlossene. Die Initiative ist nicht zuletzt Saskia Esken
(SPD) zu verdanken, die während der Koalitionsverhandlungen meinen
Vorschlag zur Implementierung regionaler Open Government Labore in
den Koalitionvertrag eingebracht hat sowie Akteuren aus dem
Bundeskanzleramt und dem Bundesministerium des Inneren, die diesen
Punkt zeitig aufgegriffen haben und mit einer Förderinitiative
hinterlegt sowie als Verpflichtung in den 2. Nationalen Aktionsplan
Open Government Partnership eingebracht haben.
Überhaupt stand der Sommer ganz im Zeichen der Unterstützung der
Bundesregierung bei der Erstellung des
zweiten Nationalen
Aktionsplans Open Government Partnership sowie der Erarbeitung
eines Vorschlags zu einem
Open Government Pakt
Baden-Württemberg zwischen Landesregierung, kommunalen
Spitzenverbänden und Kommunen sowie der Zivilgesellschaft (wie
bereits in NRW) als Beitrag für das föderale Länderkapitel des
zweiten Nationalen Aktionsplans der Bundesregierung.
Immerhin kamen fünf Länderverpflichtungen aus drei Bundesländern
(drei aus Nordrhein-Westfalen) in den 2.Nationalen Aktionsplan.
Leider gab es dazu keine Aktivitäten aus dem Land Baden-Württemberg
von Seiten der Landesregierung.
Dabei verfügt das Land Baden-Württemberg sowohl bezüglich
Kompetenzen als auch durch seine hervorragende geographische Lage
mit
vitalen Grenzregionen zu europäischen Nachbarn über
besondere und herausragende Eigenschaften, um Open Government in
interessanten Projekten anzuwenden, zu leben und zu erforschen.
Zudem ist kürzlich die
Intersectoral School of Governance
Baden-Württemberg (ISoG BW) an der DHBW zur intersektoralen
Zusammenarbeit gestartet - ein bedeutendes Element von Co-Creation
im Rahmen von Open Government. OGP-BW freut sich über den Start der
ISoG und gratuliert der Landesregierung und den beteiligten Akteuren
zum Auftakt und unterstreicht zugleich die Bedeutung von Open
Government, im Rahmen dessen schon seit über zehn Jahren als
Kulturtechnik und Werkzeugkoffer an den Grundlagen für die
intersektorale Zusammenarbeit gearbeitet und geforscht wird. OGP-BW
bedauert jedoch, dass ein solch spannendes Vorhaben nicht als
möglicher Beitrag für das Länderkapitel des 2. Nationalen
Aktionsplans Open Government Partnership der Bundesregierung
eingebracht wurde.
Vielleicht ändert sich dahingehend das Bewusstsein in
Baden-Württemberg, nachdem Deutschland seit dem 1. Oktober auch
einen Sitz im Lenkungskreis der Open Government Parship eingenommen
hat und sich die Bundeskanzlerin hinter das Thema gestellt hat.
Beste Grüße
Oliver Rack
Hier nochmal der Gutachten-Bericht im Rahmen des Idenpendent
Reporting Mechanism zur Umsetzung der Verpflichtungen aus dem 1.
Nationalen Aktionsplans
https://www.opengovpartnership.org/documents/germany-design-report-2017-2019/
Sowie die Metriken dazu:
https://www.opengovpartnership.org/members/germany/
Chers amis du groupe de travail OGP Baden-Württemberg et dÒpen
Government,
Seulement quelques jours avant la fin de la période IBV dans
le cadre de l'initiative BMI pour promouvoir des laboratoires Open
Government (voir ci-dessous). La procédure est simple et utile
pour les décideurs spontanés. L'initiative est notamment due à
Saskia Esken (SPD), qui, au cours des négociations de la
coalition, a introduit ma proposition pour la mise en œuvre de
laboratoires régionaux de Open Government dans l'accord de
coalition, ainsi qu'aux acteurs de la Chancellerie fédérale et du
Ministère fédéral de l'intérieur, qui ont repris ce point à temps
et l'ont déposé avec une initiative financière ainsi que comme une
obligation dans le deuxième plan d'action national pour le
gouvernement ouvert en partenariat.
Traduit avec www.DeepL.com/TranslatorLes activités de l'été ont
été dominées par le soutien du gouvernement fédéral à la
préparation du deuxième plan d'action national Partenariat Open
Government (OGP) et à la préparation d'une proposition de pacte de
Open Government Bade-Wurtemberg entre le gouvernement du Land, les
organisations faîtières locales et les municipalités ainsi que la
société civile (comme déjà en NRW) à titre de contribution au
chapitre fédéral du deuxième plan national du gouvernement
fédéral.
Après tout, cinq engagements de trois Länder (trois de
Rhénanie-du-Nord-Westphalie) ont été inclus dans le 2e plan
d'action national. Malheureusement, il n'y a pas eu d'activités du
Land de Bade-Wurtemberg de la part du gouvernement du Land.
Le Bade-Wurtemberg possède des caractéristiques particulières
et exceptionnelles pour l'application, la vie et la recherche
d'Open Government dans des projets intéressants, à la fois en
termes de compétences et en raison de son excellente situation
géographique avec des régions frontalières vitales aux voisins
européens.
En outre, l'École intersectorielle de gouvernance du
Bade-Wurtemberg (ISoG BW) de la DHBW a récemment lancé - un
élément important de la co-création dans le cadre de la Open
Government. OGP-BW se réjouit du lancement de l'ISoG et félicite
le gouvernement de l'État et les acteurs impliqués pour le
lancement de l'ISoG et souligne en même temps l'importance d'Open
Government, qui travaille et fait des recherches sur la base de la
coopération intersectorielle comme technologie et boîte à outils
culturels depuis plus de dix ans. OGP-BW regrette toutefois qu'un
projet aussi passionnant n'ait pas été présenté comme une
contribution possible au chapitre national du 2e Plan d'action
national de partenariat ouvert du gouvernement fédéral.
Peut-être que la prise de conscience changera à cet égard
après que l'Allemagne aura également siégé au comité de pilotage
de l'Open Government Partnership depuis le 1er octobre et que la
chancelière allemande aura soutenu ce sujet. Néanmoins, il s'est
passé beaucoup de choses nouvelles et positives dont je voudrais
vous informer ci-dessous.
Meilleures salutations
Oliver Rack
Voici une fois de plus le rapport de l'expert dans le cadre du
Mécanisme de rapport indépendant pour la mise en œuvre des
obligations du 1er Plan d'action national
https://www.opengovpartnership.org/documents/germany-design-report-2017-2019/
Ainsi que les métriques qui s'y rapportent :
https://www.opengovpartnership.org/members/germany/
Die Bundeskanzlerin:
Le Chancelier :
https://youtu.be/veJl8cL6HYM
Bundespressekonferenz:
Conférence de presse fédérale :
https://youtu.be/KpMz71ptWfc?t=568
Stellungnahme unseres Netzwerkmitglied Dr. Alexander Dix, LL.M.
Stellvertretender Vorsitzender des Vorstands Europäische Akademie
für Informationsfreiheit und Datenschutz:
Alexander Dix, LL.M. Vice-président du conseil d'administration
Académie européenne pour la liberté de l'information et la
protection des données :
https://www.eaid-berlin.de/bundesregierung-bliebt-doppelzuengig-bei-der-transparenz
Inhalt weitere Themen, Autres sujets :
Le 1er octobre, l'Allemagne siège au comité directeur de l'OGP (représentée par Dorothee Bär).
Appel de demandes de financement : initiative "Open Government Laboratoires" du Ministere Interieur et attention au document avec proposition pour un Pacte de Gouvernement Ouvert Baden-Württemberg
Sammlung Expert:innen-Liste Open Government - Anlässlich einer wachsenden Zahl von Anfragen von/für Medien, Studien, Panels, Vorträge, Gutachten
collection liste expertes d'Open Government - A l'occasion d'un nombre croissant de demandes de/pour les médias, études, panels, conférences, avis d'experts, etc.
2ème Plan d'Action National OGP : Répartition des responsabilités dans la soumission des engagements
Matrice OG/OGP sur les activités du gouvernement du Land de Baden-Württemberg contre le gouvernement du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie en chiffres binaires (et AK OGP-BW, non financé)
(bis ans Ende scrollen)
Passend auch zu Creative Bureaucracy: BMBF mit neuer Förderstrategie in drei Förderrunden für "nichttechnische Innovationen": Digitale Plattformen, Kultur- u. Kreativwirtschaft, Social Impact. Ausstattung: 30 Mio. Euro.
Convient également à la bureaucratie créative : le BMBF avec une nouvelle stratégie de financement en trois cycles pour les "innovations non techniques" : plateformes numériques, culture et industries créatives, impact social. Equipements : 30 millions d'euros.
Table ronde : Fonds pour la participation, 19.11.2019 : Discussion sur le processus de participation "Fonds pour la participation" avec la conseillère d'Etat pour la société civile et la participation citoyenne Gisela Erler.
- Duale Hochschule Baden-Württemberg
Center for Advanced Studies: Intersectoral School of
Governance Baden-Württemberg (ISoG BW)
Ensemble législatif complet : Loi sur l'élaboration de politiques fondées preuve sur des données probantes et Loi sur la données ouvertes par Barack Obama et signé par Trump.
Événements
Offres d'emploi Fondation Körber (voir ci-dessous) et Allianz für Beteiligung BaWü (Speaker*in Communication and Networking)
Deutschland nun mit Sitz im Steering der OGP
Seit 1. Oktober hat Deutschland einen Sitz im Lenkungsausschuss der
Open Government Partnership. Die Bundesregierung wird vertreten
durch Staatsministerin Dorothee Bär. Vorausgegangen war ein Ersuchen
der Open Government Partnership Anfang des Jahres, Deutschland möge
einen Sitz im Steering Committee einnehmen.
Im April nahm Deutschland den Vorschlag zur Kandidatur an.
Kanzleramtschef Helge Braun unterstrich das stete Bemühen seit dem
Beginn Deutschlands OGP-Teilnahme im Dezember 2016, das
Regierungshandeln für Bürgerinnen und Bürger besser zu machen -
effektiver, inklusiver, digitaler und offener. Braun stellte zudem
die besonders stark und aktive Zivilgesellschaft heraus und deren
Bedeutung für eine inklusive Demokratie. Von einem sitzenden
Lenkungsausschuss erhoffe sich die Bundesregierung, von der
Vorreiterrolle anderer zu lernen und sich gleichzeitig daran zu
messen. Weiterhin unterstrich er die Bedeutung von Open Government
auch als strategisches Werkzeug für Führung und als Kulturtechnik
des Regierungshandeln. Braun sieht zudem in einer guten und starken
Zivilgesellschaft eine wichtige Grundlage und Chance den
Multilateralismus wieder zu stärken, nachdem Bundeskanzlerin Angela
Merkel zuvor ernste Sorgen zum “Backlash” beim Multilateralismus
geäußert hat.
Gleich zu Beginn der neuen Mitgliedschaft Deutschlands im
Lenkungsausschuss besuchte der Chief Country Manager der OGP,
Paul
Maassen, Berlin. Er traf sich unter anderem auch mit
Vertretern der Strategiegruppe des Open Government Netzwerks sowie
mit Vertretern aus Politik im Rahmen eines parlamentarischen
Frühstücks für das Saskia Esken die Schirmherrschaft übernommen
hatte.
Bewerbungsaufruf auf Förderung: Initiative "Open Government
Labore" des BMI
Im Januar 2018 hatte ich mit Unterstützung von Saskia Esken die
Möglichkeit, die Idee von regionalen Orten Government Laboren in den
Koalitionsvertrag der Bundesregierung einzubringen. Umso mehr freue
ich mich nun, dass dieser Punkt aus der Vereinbarung von der
Bundesregierung aufgegriffen worden ist und das
Bundesinnenministerium eine Förder-Initiative für Open Government
Labore gestartet hat. Federführend ist hierbei jenes Referat im BMI,
dass auch schon die erfolgreichen Förderprogramme “Modellkommunen
E-Government” und “Modellkommunen Open Government” in den letzten
Jahren initiiert hatte. Noch bis zum 31. Oktober läuft das
Bekundungsverfahren für Kommunen die sich auf die Förderung von Open
Government Laboren bewerben möchten.
Ich habe mal ein paar Stichpunkte zusammengefasst:
- Zwei Kommunen als Partner erwünscht
- Zweistufig (Interessenbekundungsverfahren / Antragsverfahren)
- 3 Mio. Gesamtvolumen (evtl. nur 2,7 Mio)
- Bis zu 16 Labore finanziert
- Projektzeitraum von 2020 bis 2022
- Konkrete regionale Herausforderung, Nicht nur Struktur, auch
z.B. Klimawandel, demografischem Wandel
Migration, Digitalisierung, nachhaltigen Entwicklung
- 31.10. ausfüllbares PDf
- 20./21. November Workshop
- Bis Ende Jahres Bewerbung überarbeiten
- Angabe steht unter Haushaltsvorbehalt / Niedrigschwelliger
Antrag
- Lernort
- Entwicklungsort
- Teil der Heimatpolitik des BMI (finanziert aus BULE)
- flankiert die aktive Strukturpolitik der Bundesregierung
gleichwertiger Lebensverhältnisse
- durch Erschließung Innovationspotenzial der gesamten
regionalen Gesellschaft
Für Baden-Württemberg spezifische Argumentationslinien lassen
sich auch aus dem Entwurf des Vorschlags zur Entwicklung eines
Open Government Pakts Baden-Württemberg (siehe Anhang) auslesen,
den ich gemeinsam mit Ivan Acimovic, Vorsitzender der
Arbeitsgruppe Open Government des Städtetags Baden-Württemberg und
Andreas Krumtung von TOGI der Zeppelin Universität sowie unter
Beteiligung von Max Schulze-Vorberg, Kommune 21 sowie Steffen
Braun, Digitalakademie@bw entworfen habe. Der Pakt-Vorschlag ist
das Ergebnis einer Initiative des Städtetags Baden-Württemberg.
Sie startete im Rahmen eines gemeinsamen Workshops des
Arbeitskreises OGP-BW und er AG Open Government des Städtetags BW
zur Erarbeitung potentieller Beiträge des Landes Baden-Württemberg
im Zweiten Nationalen Aktionsplan.
Zudem ein sehr gelungener Leitfaden zu Open Government, der aus
der vergangen Förderung Modellkommune Open Government des BMI
heraus entstanden ist:
»Kommunales Open Government – Gebrauchsanleitung für eine Utopie«:
http://open-government-kommunen.de/wp-content/uploads/2019/09/Gebrauchsanleitung_Modellkommune-Open-Government.pdf
Außerdem ein spannender Abschlussbericht von Prof. Dr. Joachim
Beck, Prof. Dr. Jürgen Stember zu den BMI-geförderten Projekten
der letzten zwei Jahre aus "Modellkommune Open Government"
http://open-government-kommunen.de/wp-content/uploads/2019/09/Projektbericht_Modellkommune_Open_Government_barrierefrei.pdf
Weitere Informationen hier:
https://www.bmi.bund.de/SharedDocs/pressemitteilungen/DE/2019/09/open-government-labore.html
Infos Interessenbekundungsverfahren
https://www.bmi.bund.de/SharedDocs/downloads/DE/veroeffentlichungen/2019/interessenbekundung-open-government-labore.pdf?__blob=publicationFile&v=2
Formular
Interessenbekundungsverfahren
https://www.bmi.bund.de/SharedDocs/downloads/DE/veroeffentlichungen/2019/antrag-interessenbekundung.pdf?__blob=publicationFile&v=4
2. Nationaler Aktionsplan OGP - Ressortsverteilung bei
Einreichungen von Committments
1. NAP 2017-2019 |
|
|
C 1 |
BMI |
CDU |
C 2 |
BMI |
CDU |
C 3 |
BMI |
CDU |
C 4 |
BMI / BMVI / BMU / BMWi |
CDU, CSU / SPD / SPD |
C 5 |
BMWi |
SPD |
C 6 |
BMZ |
CSU |
C 7 |
BMVI |
CSU |
C 8 |
BMU |
SPD |
C 9 |
BMFSFJ |
SPD |
C 10 |
BMFSFJ |
SPD |
C 11 |
BMFSFJ |
SPD |
C 12 |
BMJV |
SPD |
C 13 |
BMBF |
CDU |
C 14 |
BMBF |
CDU |
C 15 |
BMI |
CDU |
|
|
|
2. NAP 2019-2021 |
|
|
C 1 |
BMI |
CSU |
C 2 |
AA |
SPD |
C 3 |
BMFSFJ |
SPD |
C 4 |
BMI |
CSU |
C 5 |
BMZ |
CSU |
C 6 |
BMI |
CSU |
C 7 |
BMBF |
CDU |
C 8 |
Bundeskanzleramt u. Ressorts |
CDU / alle |
C 9 |
BMEL |
CDU |
OG/OGP-Matrix zu Aktivitäten Landesregierung Baden-Württemberg
vs Landesregierung Nordrhein-Westfalen in binären Zahlen (und AK
OGP-BW, nicht finanziert)
|
Land NRW |
Land BW |
OGP-BW
(ohne Finanzierung) |
Open-Government-Pakt |
1 |
0 |
1
Rechtzeitig
erarbeitet |
Beitrag
2. Nationaler Aktionsplan OGP |
1 |
0 |
1
Rechtzeitig
erarbeitet |
Koordinierung
OG-Aktivitäten in BW
|
1 |
0 |
1 |
Expert:innen-Liste
Anlässlich einer wachsenden Zahl von Anfragen von/für Medien,
Studien, Panels, Vorträge, Gutachten / Konsultationen, der
allgemeinen Virulenz des Themas Open Government / OGP durch 2. NAP,
Bundeskanzlerin und das Förderinstrument "Open Government Labore"
des BMI stellt sich die Frage, ob es nicht sinnvoll wäre, die
Expertisen zu sammeln/mappen, um auf Anfrage mehr Readyness zu
haben.
Selbst lange im Journalismus tätig gewesen kenne ich ein solches
Vorgehen von guten ÖAs selbstbewusster Universitäten, die gerne
einmal zu aktuellen Themen oder als jährlicher Almanach eine Liste
aus Expert:innen ihres Hauses versenden.
Ich habe da mal etwas vorbereitet:
https://ec.europa.eu/eusurvey/runner/opengov-experts
Man kann dies zur Befüllung auch an Nicht-Netzwerk-Mitglieder weiter
leiten.
Versendung dann über Presseverteiler des Netzwerks und jeweils
eigene Kanäle der Mitglieder.
Auch dies wäre zuträglich, um die Medien mit
1) Expert:innen-Liste
2) Veranstaltungen
3) Medienecho
zu versorgen.
(und natürlich auch für die eigene Medienresonanzanalyse)
Hier ein Pad dazu:
https://pad.okfn.de/p/medienecho-NAP2
Runder Tisch: BW Fonds für Beteiligung
Aus dem Protokoll: "Initiative Allianz für Beteiligung e.V. ist
derzeit in einem Konsultationsprozess für die Entwicklung eines
Fonds für Beteiligung in BW. Die Idee: In vielen Städten und
Gemeinden in Baden-Württemberg wächst die Bereitschaft, Prozesse
gemeinsam mit Bürger*innen zu gestalten. Dabei wird stets betont,
dass alle die Möglichkeit haben sollen, sich einzubringen - also
auch Menschen mit zum Teil besonderen Bedarfen. Dies können z.B.
Menschen mit Behinderung sein, aber auch Personen mit geringem
Einkommen. Die Erfahrung zeigt, dass sich Menschen nur dann
beteiligen, wenn für sie eine "Infrastruktur für Beteiligung"
vorhanden ist.
Dafür soll ein Umsetzungskonzept für einen landesweiten "Fonds für
Beteiligung“ entstehen, das möglichst auf kommunale Verhältnisse
übertragbar ist (Kurzbeschreibung: Zielgruppen, Mögliche Leistungen,
Antragsverfahren und Vergabekriterien, Administrationsmodalitäten,
ein mögliches Finanzierungsmodell, Abschätzung des Finanzbedarfs).
Dieser Ansatz wurde durch die vorbereitende Arbeitsgruppe ergänzt:
Es genügt nicht, wenn ein solcher Fonds Unterstützungsleistungen
gewährt, sondern es muss auch darum gehen, welche Formate und damit
welche Zugänge für Beteiligungsvorhaben gewählt werden. Die müssen
geeignet sein, dass die betroffenen Menschen befähigt bzw.
„empowert“ werden, sich zu beteiligen. Zu den Formaten zählen eine
richtige Ansprache und eine entsprechende Wortwahl, um niemanden von
Beginn an auszuschließen.
Die Fragestellung hat sich damit von einer ursprünglich
technisch-funktionalen („Wie kann ein solcher Fonds organisiert
werden?“) zu einer inhaltlich-qualitativen („Welche Anforderungen
bestehen an einen inklusiven Beteiligungsprozess?“) verändert.
- Es geht um ein „breites Inklusionsverständnis“, also nicht um
einzelne Gruppen, sondern um möglichst viele
- Es gibt schon Erfahrungen aus anderen Projekten. Deshalb geht
es darum, Doppelungen zu vermeiden – stattdessen soll ggf. auf
Ergebnisse solcher Projekte verwiesen werden. Dazu hat die
Allianz für Beteiligung eine entsprechende Recherche in Auftrag
gegeben
- Angestrebt wird ein konkretes Ergebnis, möglicherweise in Form
von Empfehlungen."
Entgegen vielen Unkenrufen vertrete ich die Meinung, dass das
Intenet/WWW insgesamt (und global) eine enorme Funktion für
Inklusion erfüllt und dessen Möglichkeiten konsequent in
Beteiligungsprozesse hineingedacht werden müssen. Auch ermöglichen
digitale Darstellungen von komplexen Sachverhalten sowohl
(interaktive) Visualisierungen sowie "kaskadenhafte" Vertiefungen
von simplifizierten Einstiegen hinein in Komplexitäten (ähnlich wie
bei CC-Lizenzen) bessere Zugänge für alle Rezipienten.
Den dezentralen Informations- u. Beteiligungsmöglichkeiten über das
Internet, was natürlich das physische Zusammenkommen nicht
ausschließen sondern unterstützen/anreichern soll, sollte dabei
stärker als bislang Rechnung getragen werden. Hierzu gibt es viele
Werkzeuge verschiedener Funktionsweise, Qualität und Aktualität, die
einmal evaluiert werden müssten. Hierbei stellen sich auch
Anforderungen an Interoberabilitäten zwischen solchen Werkzeugen
bzw. auch die Frage der zentralen Bereitstellung durch Land/Kommunen
mit ausreichender Kapazität. (zB in der Bauleitplanung schon
vorgesehen). Ich halte diesen Bereich in seiner Wirkung für sehr
inklusiv, nicht nur für Mobilitätseingeschränkte und Menschen mit
anderen Behinderungen sowie weitere Benachteiligte, sondern auch für
Menschen, die entweder zeitliche Nöte haben oder deren Motivation
nicht ausreicht, physisch teilzuhaben.
Am 19.11.2019 findet die Diskussionsveranstaltung am Nachmittag
statt im
SpOrt Stuttgart, Sport, Bildungs- und Dienstleistungszentrum GbR
Adresse: Fritz-Walter-Weg 19 | 70372 Stuttgart.
Intersectoral School of Governance Baden-Württemberg (ISoG BW)
an der DHBW
Ministerpräsident Winfried Kretschmann und Staatsrätin Gisela
Erler haben gemeinsam mit Gästen aus Wirtschaft und
Zivilgesellschaft den Auftakt zur Intersectoral School of Governance
Baden-Württemberg (ISoG BW) gefeiert. Dort werden künftig
Führungskräfte sowie Vertreterinnen und Vertreter aus dem
öffentlichen Dienst, aus Unternehmen und der Zivilgesellschaft
lernen, wie gesellschaftliche Großprojekte im Zusammenwirken von
Staat, Wirtschaft und Zivilgesellschaft intersektoral und
zielführend geplant und verwirklicht werden können. Beim feierlichen
Festakt im Gobelinsaal der Villa Reitzenstein stand neben zwei
Talkrunden auch die Unterzeichnung der Fördervereinbarung mit der
Dualen Hochschule Baden-Württemberg auf dem Programm. „Eine
Einrichtung wie die ISoG braucht es heute vielleicht noch mehr als
in den letzten Jahren“, so Staatsrätin Gisela Erler:
„Interdisziplinäre Lösungen und intersektorales Arbeiten sind
unabdingbar, um globale Probleme wie den Klimawandel oder die
Transformation der Automobilwirtschaft erfolgreich anzugehen.“
Ab April 2020 können Führungskräfte und Vertreterinnen und Vertreter
aus dem öffentlichen Dienst, aus Unternehmen und aus der
Zivilgesellschaft gemeinsam in der Intersectoral School of
Governance Baden-Württemberg lernen. In einem berufsbegleitenden
Zertifikatsprogramm auf Master-Niveau stehen gesellschaftliche
Großprojekte und das Zusammenwirken von Staat, Wirtschaft und
Zivilgesellschaft im Fokus.
„Ob Klimakrise, Migration, Verkehr oder die Verknappung von
bezahlbarem Wohnraum: Staat, Wirtschaft und Zivilgesellschaft sollen
und müssen in einer vielfach vernetzten Dynamik interagieren, um
öffentliche Projekte zum Erfolg zu führen. Es gibt heute kaum ein
Vorhaben, bei dem man es sich leisten könnte, im eigenen Saft zu
schmoren. Silo-Denken hat ausgedient. Wir erleben heute tagtäglich,
wie eine moderne, aufgeklärte und, Gott sei Dank, auch aufmüpfigere
Zivilgesellschaft transparente Verfahren und gute Begründungen
erwartet. Die Intersectoral School of Governance ist daher eine
Investition in die Zukunft unseres Landes, die sich auszahlen wird“,
sagte Ministerpräsident Winfried Kretschmann anlässlich der
Auftaktveranstaltung der Intersectoral School of Governance
Baden-Württemberg (ISoG BW) in der Villa Reitzenstein in Stuttgart.
Sechs Module mit ca. 30 Präsenztagen (acht Blockveranstaltungen von
drei bis fünf
Tagen) in 18 Monaten.
Intersektorales Wissen (Governance, gesellschaftliche Trends)
Intersektorales Denken (Ethik und Haltung, Leadership, Mindset,
Selbstbild, Reflexion)
Intersektorales Handeln (Strategie, Handlungskompetenz/Management,
Kommunikation und Konflikt, Projekt-Governance, Netzwerkaufbau)
MODUL 1: GOVERNANCE
Gesellschaftliche Trends
Mehrebenen-Governance (horizontal,
vertikal, transversal)
MODUL 2: MULTILINGUALITÄT
Staat, Wirtschaft, Zivilgesellschaft: Funktionsprinzipien und
Kulturen
Intersektorale Kommunikation
MODUL 3: KONFLIKTE & BLOCKADEN
Strategien und Methoden konstruktiver Konfliktklärung
MODUL 4: MULTIMEDIALITÄT
Kommunikationsmedien nutzen
und entwickeln
MODUL 5: PROJEKT-GOVERNANCE
Governance-Prozesse initieren
Agile Prozesse gestalten
MODUL 6: GOVERNANCE CLUSTER
Intersektorales Handeln, Denken und Wissen verstetigen
Kooperationspartner:
Bildungswerk der Baden-Württembergischen Wirtschaft e. V.
Führungsakademie Baden-Württemberg
Hochschule für öffentliche Verwaltung und Finanzen Ludwigsburg
Hochschule für öffentliche Verwaltung Kehl
FÖRDERER
Land Baden-Württemberg
Südwestmetall
Robert Bosch Stiftung
Dieter Schwarz Stiftung
KOSTEN
9.000 € inkl. aller Gebühren
(zzgl. eventueller Reise- und
Übernachtungskosten)
Für Teilnehmer*innen aus kleinen Unternehmen oder
Non-Profit-Organisationen ist
in begründeten Fällen eine Kostenreduktion
möglich. Bitte erkundigen Sie sich bei uns
https://stm.baden-wuerttemberg.de/de/service/presse/pressemitteilung/pid/auftakt-zur-intersectoral-school-of-governance-baden-wuerttemberg/
https://www.cas.dhbw.de/isog/
Creative Bureaucracy Festival
https://www.tagesspiegel.de/berlin/creative-bureaucracy-festival-buerokratie-muss-jetzt-kreativ-werden/25034086.html
"2.000 Teilnehmerinnen und Teilnehmer kamen am vergangenen
Wochenende zum Creative Bureaucracy Festival des Tagesspiegels in
die Humboldt-Universität. Fachleute aus aller Welt diskutierten neue
Modelle, um Bürgern und Bürokraten das Leben zu erleichtern. Einer
der Initiatoren der Veranstaltung ist Oliver Rack. Friederike Moraht
stellt Ihnen den Mann vor, für den Kreativität und Verwaltung
zusammengehören. " (s.u.)
Außerdem: Vom 21.-23.11.19 veranstaltet das Kompetenzzentrum
Kultur- u. Kreativwirtschaft zusammen mit Partnern wie u.a.
Indentitätsstiftung und CreativeNRW das InnovationCamp
Anzetteln
„Wege zur kreativen Bürokratie mit Kultur- und Kreativwirtschaft“
in Mönchengladbach. Im Mittelpunkt der Workshop-Veranstaltung steht
die Frage: Wie Kultur- und Kreativwirtschaft dazu beitragen kann,
den Veränderungsprozess in Verwaltungen auf allen Ebenen
voranzutreiben. Mit Blick auf konkrete Fallbeispiele aus Behörden
werden in vier interdisziplinären Gruppen Ideen, Lösungsansätze und
Prototypen zu realen Herausforderungen erarbeitet.
"Die Rebellion der Verwaltung geht weiter: Mit dem Amt für unlösbare
Aufgaben, Phase XI, haben wir bereits Expertise gesammelt, kreative
Lösungen für bürokratische Prozesse zu implementieren. Auch beim
Creative Bureaucracy Festival des Tagesspiegels bringen wir unseren
Input mit drei Aktionen vor Ort ein. Wir möchten weitermachen,
anstiften und anzetteln, um gemeinsam die Verwaltung von morgen zu
gestalten."
Einzelheiten zum Programm werden hier laufend aktualisiert. Die
Anmeldung ist bis zum 11.11.2019 möglich.
https://kreativ-bund.de/camp/anzetteln
Passend auch zu Creative Bureaucracy: BMBF mit neuer
Förderstrategie für "nichttechnische Innovationen", darunter
"Soziale Innovation"
Beim Forum der Fellows des Kompetenzzentrums Kultur- u.
Kreativwirtschaft des Bundes letzte Woche wurde uns von Seiten des
Bundes gezielt eine neue Innovationsförderung nahe gelegt, die
ergänzend und anders als sonst, nicht die technische Innovation (wie
zB ZIM), sondern vielmehr die nichttechnische Innovation stärken
soll.
Das "Innovationsprogramm für Geschäftsmodelle und Pionierlösungen"
(IGP) startet im Herbst und fördert mit 25 Millionen Euro über 4
Jahre KMUs und Soloselbstständige in nichttechnischen Bereichen:
1. Aufruf: Digitale und datengetriebene Geschäftsmodelle und
Pionierlösungen
2. Aufruf: Kultur- und kreativwirtschaftliche Innovationen
3. Aufruf: (voraussichtlich) Innovationen mit einem besonders hohen
„Social Impact“, zB im Bereich Bildung und Informationszugang.
https://www.bmwi.de/Redaktion/DE/Downloads/F/foerderrichtlinie-innovationsprogramm-fuer-geschaeftsmodelle-und-pionierloesungen-igp.pdf?__blob=publicationFile&v=4
Dahinter verbergen sich u.a. zunehmende Tendenzen in der
(Wirtschafts-)politik, die gesellschafftliche Verantwortung und
Wirksamkeit des (eigenen) Wirtschaftens breiter und nachhaltiger
aufzustellen. Insbesondere auch die Bedeutung der Kultur- und
Kreativwirtschaft hierfür wird dabei ins Auge gefasst - ein Aspekt,
der sich auch in den Foren und Trendradars der Fellows über die
letzten zwei Jahre hinweg noch stärker konturiert hat.
Umfassendes Gesetzespaket "Evidence-Based Policymaking Act" der
Trump-Administration mit "Open Government Data Act"
Im Januar hat Donald Trump ein Gesetzespaket unterzeichnet das noch
Barack Obama auf den Weg gebracht hatte und das nun, nach mehreren
Jahren Vorarbeit durch eine Kommission, verabschiedet wurde:
Evidence-Based Policymaking Act. Interessenvertreter und ehemalige
Regierungsbeamte, die die Grundlage für die Verabschiedung eines
Gesetzes gelegt haben, sagen, dass das neue Gesetz dazu beitragen
wird, den Weg für eine breitere föderale Datenstrategie zu ebnen,
die die Trump-Administration derzeit umsetzt.
Präsident Donald Trump unterzeichnete am 14. Januar den Foundations
for Evidence-Based Policymaking Act. Der Gesetzentwurf enthält auch
das
Open Government Data Act, das vorschreibt, dass alle
nicht sensiblen Regierungsdaten standardmäßig in offenen und
maschinenlesbaren Formaten bereitgestellt werden. Das Gesetzespaket
basiert auf mehr als 20 Empfehlungen, die die parteiübergreifende
Kommission für evidenzbasierte Politikgestaltung in ihrem Bericht
vom September 2017 ausgesprochen hat.
Die Behörden müssen auch leitende Datenbeauftragte ernennen, die
ihren Datenbestand überwachen und festlegen, wie diese Daten am
besten an die Öffentlichkeit weitergegeben werden können. Eine
Handvoll Behörden - darunter das Verteidigungsministerium, die
Luftwaffe, die Federal Emergency Management Agency sowie Immigration
and Customs Enforcement - haben bereits Chief Data Officer.
Innerhalb der nächsten sechs Monate muss das Büro für
Personalmanagement eine neue Jobreihe für Beamte der
Programmevaluierung anlegen.
Unterdessen hat die Trump-Administration mehr als 50
Daten-Beauftragte aus verschiedenen Behörden versammelt, die etwa
ein Viertel ihrer Zeit damit verbringen, eine föderale
Datenstrategie zu entwickeln.
Kommissionsbericht
https://www.cep.gov/report/cep-final-report.pdf
Neuerscheinung aus Diskussion im Forum Soziale
Technikgestaltung: „Der mitbestimmte Algorithmus“
Gestaltungskompetenz für den Wandel der Arbeit
Welf Schröter (Hg.), Mössingen-Talheim 2019, 248 Seiten, ISBN
978-3-89376-181-4
- Welf Schröter: Vorwort
- Klaus Kornwachs: Nicht vor der KI, vor den Geschäftsmodellen
müssen wir uns fürchten
- Oleg Cernavin: Algorithmus-Kompetenzen. Grundlage für
reflexives und kritisches KI-Bewusstsein
- Jan Etscheid, Jörn von Lucke: Anregungen für einen
sozialverträglichen Einsatz von künstlicher Intelligenz im
öffentlichen Sektor
- Welf Schröter: Der mitbestimmte Algorithmus. Arbeitsweltliche
Kriterien zur sozialen Gestaltung von Algorithmen und
algorithmischen Entscheidungssystemen
- Benedikt Simmert, Karen Eilers, Jan Marco Leimeister:
Internet Crowd Work an der Schnittstelle sozialer und
technischer Elemente der digitalen Arbeitsorganisation
- Hannah Ulbrich, Marco Wedel: Forschungsprojekte als
Experimentierräume für die DigitalisierungBernd Schneider,
Bernhard Müller-Klinke, Katharina Parth: Digitalisierung in der
Arbeitswelt. Neue Handlungsfelder für Belegschaftsvertreter:
Andreas Otte, Welf Schröter in Zusammenarbeit mit Ingo Breite,
Frank Gerth, Sylvia Laur, Volker Ost, Can Sekertekin, Andreas
Tabor: Lebende Konzernbetriebsvereinbarung als soziale
Innovation. Internes Crowdsourcing in der GASAG-Gruppe.
Bedeutung – Bewertung – Wortlaut
- Markus Freitag, Claudia Häussler, Chris Purz, Welf Schröter:
Chance auf einen geordneten Zukunftsprozess. Gesamtpersonalrat
(GPR) überreicht OB Kuhn den Entwurf einer „Lernenden Rahmen-
und Zukunfts-Dienstvereinbarung IT und TK“
Außerdem:
„Schutz der Privatheit – Schutz der Demokratie“ am 16.11.
Am Samstag 16. November 2019 von 09.30 Uhr bis 16.30 Uhr in
Stuttgart, Landeszentrale für politische Bildung
Baden-Württemberg, Lautenschlagerstr. 20 zum Thema:
Schutz der Privatheit – Schutz der Demokratie
Wie beeinflusst die Digitalisierung unser gesellschaftliches
Zusammenleben?
Kai Strittmatter, der langjährige Korrespondent der Süddeutschen
Zeitung in Peking wird am Beispiel des Social Scoring in China
vor Augen führen, was auf dem Spiel steht. Mit Dr. Jessica Heesen
von der Universität Tübingen und dem Forum Privatheit diskutieren
wir, was der Schutz der Privatheit mit dem Schutz der Demokratie
zu tun hat. Welf Schröter vom Netzwerk „Sozialer Zusammenhalt in
digitaler Lebenswelt“ stellt die Thesen zum Schutz der Privatheit
zur Debatte vor.
Veranstaltungen / Termine
- 1.10. Berlin, mFUND
Fachaustausch Barrierefreiheit - Offene Daten für
Barrierefreiheit - Musterdatenkatalog (Rack)
- 15.10.
- 16.10. Konferenz "Smart Data in der Amtsstube -
Digitalisierung und Daten in der öffentlichen Verwaltung",
Deutsche Universität für Verwaltungswissenschaften Speyer,
Vortrag/Panel (Rack)
- 22.
Oktober 2019, 12:00 – 13:00 Uhr Diskussionsrunde „Kommunen,
Daten, Mobilität, Messestand des BMVI, SCC (Rack)
- 22.10.
Open and Agile Smart Cities (OASC) OASC, gemeinsam mit den
Partnern von Engineering und EIT Digital: Workshop von
15:30 bis 18:00, Raum R9. (Rack)
- 23.10 -
24.10. FIWARE Global Summit, Berlin
- 23.10.
- 25.10. European Data Summit 2019 "Competition Matters",
Konrad Adenauer Stiftung, Berlin (Rack)
- 28. - 29. Okt
Digital-Gipfel der Bundesregierung 2019, Dortmund
- 5.11.
Journalism of Things Conference denkt das Internet der Dinge
und Journalismus, Datenjournalismus, Stuttgart, https://jot-con.de/
- Fr, 08.11 FORUM Offene
Stadt, Hamburg, Open Knowledge Foundation + Körber Stiftung https://offenestadt.info/ (Peters,
Rack etc.)
- Sa, 09.
- So, 10. November 2019 | Code for Germany Community Summit
in Hamburg https://codefor.de
- 16. - 17. Tagung
Offene Kommunen.NRW, Wuppertal (Rack,
Jansen)
- 18. - 19. Hamburg,
Digital Finance Summit 2019 - Digitalisierung des
Finanzmanagements im öffentlichen Sektor, Podiumsdiskussion
"Dateneigner – Wem gehört der staatliche Datenschatz?"
(Rack)
- 19.11.
Hearing mit Staatsrätin Gisela Erler zum Runden Tisch im
Rahmen der Entwicklung eines Fonds für Beteiligung
Baden-Württemberg (Schwerpunkt inklusivere Beteiligung)
(Rack)
- tbc. Veröffentlichung
Abschlussbericht 1. NAP
- 21.11. Fachkonferenz
"Bürgerbeteiligung online – offline – bürgernah", Behörde
für Stadtentwicklung und Wohnen Hamburg (evtl. Rack)
- 21.11.
- 22.11. Workshop des BMI im Rahmen des Antragverfahrens auf
Förderung "Open Government Labore" (Rack)
- 21.11. Darmstadt,
FACHKONFERENZ 2019 Stadtplanung und Stadtentwicklung,
Bürgerbeteiligung stärken - Alltagsexperten frühzeitig
einbinden
- 25. November: 4.
Demokratie Dialog der Allianz Vielfälgite Demokratie
Berlin/Brandenburg ("Verschiedene Formate von
Bürgerhaushalten - von genial bis ganz schön schräg")
- 28.11.
Open Government Tag München (tbc)
Stellenausschreibung Körber-Stiftung
wir suchen derzeit einen neuen Kollegen / eine
Kollegin für unseren Bereich »Demokratie, Engagement,
Zusammenhalt«. Insbesondere für Unterstützung unserer
Bürgerbeteiligungsangebote und Konferenzformate möchten wir zum
nächstmöglichen Zeitpunkt in
Vollzeit (40 Std./Woche)
und zunächst
befristet auf zwei Jahre einen
Programm-Manager (w/m/d) einstellen
.
Aufgaben:
§ Anpassung und
konzeptionelle Weiterentwicklung der digitalen Plattform
»eAgora« von »Hamburg besser machen« im Kontext des Transfers
des Bürgerbeteiligungsprozesses auf andere Städte im Ruhrgebiet
und in den neuen Bundesländern
§ Entwicklung einer
Vernetzungs- und Kommunikationsstrategie für die »eAgora«
§ Einspeisung der
Erfahrungen mit der »eAgora« in ein größeres wissenschaftliches
Forschungsprojekt mit einem Kooperationspartner zur digitalen
Demokratie
§ Durchführung von
Veranstaltungen und Fachkonferenzen zur digitalen Demokratie
(wie beispielsweise das FORUM Offene Stadt, Präsentation von
Studien etc.) und Entwicklung eines Projektansatzes in diesem
Feld
§ Planung und
redaktionelle Umsetzung der projektrelevanten
Öffentlichkeitsarbeit (Pressearbeit, Kommunikation über Social
Media Kanäle und Plattformen)
Wir wünschen uns:
- abgeschlossenes Hochschulstudium
- mindestens zwei Jahre Berufserfahrung im
Management, der Organisation und Administration von
Konferenzen, Workshops oder Projekten im Themenfeld digitale
Demokratie (Bürgerbeteiligung, Open Government, Open Data
etc.)
- sehr gute Kenntnis von und Vernetzung mit Akteuren
im beschriebenen Themenfeld
- Kommunikationstalent und nachgewiesene Fähigkeit,
komplexe Themen verständlich und journalistisch
aufzubereiten
- sicheres Auftreten, verbunden mit der Erwartung,
die Körber-Stiftung angemessen zu repräsentieren.
Vielleicht haben Sie eine Empfehlung für
jemanden, der oder die sich per kurzer Mail und Lebenslauf gerne
an uns wenden kann.
Vielen Dank!
Viele Grüße
Hannes
Hasenpatt
Programm-Manager
| Program Manager
Bereich
Demokratie, Engagement, Zusammenhalt | Democracy, Involvement,
Cohesion
Körber-Stiftung
Kehrwieder
12 | 20457 Hamburg
Telefon:
+49 40 80 81 92 - 158 | Mobil: +49 160 89 81 318
E-Mail:
hasenpatt@koerber-stiftung.de
koerber-stiftung.de
| facebook.com/KoerberStiftung
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Das tägliche Entscheider-Briefing zu
Digitalisierung & KI, 23.09.2019 |
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Sehr
geehrter Herr Rack,
Autofahren, Flugreisen, Wärmedämmung –
die Themen, die beim Klimaschutz am
lautesten diskutiert werden, sind immer die,
von denen die Verbraucher, beziehungsweise
Wähler, direkt betroffen sind. Seltener
thematisiert wird der Einfluss, den die
Digitalisierung auf den Energieverbrauch
hat. Dabei zählen Rechenzentren jetzt
schon zu den ganz großen Stromfressern –
und je mehr Daten wir speichern, desto
größer wird ihr Anteil. Was im Klimapaket
zum Thema Green IT steht und warum
sich die Branche noch schwer damit tut,
fasst Miriam Schröder zusammen.
Fast hätten wir es geahnt: Viele Kunden in
Deutschland sind unzufrieden mit ihrer Internetverbindung.
Das zeigt eine repräsentative Umfrage
der Marktwächter, die Tagesspiegel
Background exklusiv vorliegt. 29
Prozent der betroffenen
Internetnutzer gaben an, sie hätten ihren
Anbieter drei Mal oder mehr wegen der
Störung kontaktiert. Praktisch seien die
Kunden aber machtlos, meinen die
Verbraucherschützer und fordern vom
Gesetzgeber mehr Kompetenzen für die Bundesnetzagentur,
schreibt Heike Jahberg.
Frauen sind in der KI-Forschung
unterrepräsentiert. Vor allem im
Medizinbereich kann das zu Diskriminierung
führen, weiß Sabine Rößing –
wenn die Daten, mit denen die Algorithmen
trainiert werden, überwiegend von Männern
stammen.
2.000 Teilnehmerinnen und Teilnehmer kamen
am vergangenen Wochenende zum Creative
Bureaucracy Festival des
Tagesspiegels in die Humboldt-Universität.
Fachleute aus aller Welt diskutierten neue
Modelle, um Bürgern und Bürokraten das Leben
zu erleichtern. Einer der Initiatoren der
Veranstaltung ist Oliver Rack. Friederike
Moraht stellt Ihnen den Mann vor, für den
Kreativität und Verwaltung zusammengehören.
Wenn sich Verwaltungsmitarbeiter mit
der Digitalisierung oft noch schwer täten,
dann aus Angst, meint Bernd Baptist. Auf
dem Festival sprach er darüber, wie man den
Dämon der Modernisierung entzaubert. Wir
haben seinen Vortrag in unserem heutigen
Standpunkt dokumentiert.
Alle Artikel im Überblick:
- Schnelles Internet: Jeder Dritte hat
Probleme mit dem Anbieter
- Klimaschutz: Strom sparen im
Datenspeicher
- KI in der Medizin: Kaum Daten von Frauen
- Wie Digitalisierung die
Forschungszusammenarbeit verändert
- KI: Neue Parlamentsinitiative von
Deutschland und Frankreich
- Standpunkt: Bernd Baptist will
Verwaltungsmitarbeitern die Angst vor der
Digitalisierung nehmen
- Im Porträt: Oliver Rack
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Oliver Rack
Projektentwickler
und Politikberater für Open
Government, Verwaltungsinnovation
und Digitalisierung
Kreativität und Bürokratie –
die Begriffe fallen selten in
einem Satz. Einer, der beides
verknüpft, ist Oliver Rack.
Als Vorstandsmitglied des Vereins
„nextlearning“ und dem
dazugehörigen Netzwerk „Politics
for Tomorrow“ gehört er zu den
Initiatoren des „Creative
Bureaucracy Festivals“, das
am vergangenen Freitag und Samstag
in Berlin stattfand. Rack meint,
dass vor allem die Kultur- und
Kreativwirtschaft Innovationen in
die öffentliche Verwaltung bringen
kann und Antworten geben auf
Fragen wie: Was sind
die Anforderungen an das
Verwaltungspersonal der Zukunft? Wie
können wir Warteschlangen
abschaffen? Wie kann Schule im 21.
Jahrhundert aussehen?
Verwaltung ist wie ein
Betriebssystem
Für Rack ist Bürokratie
vergleichbar mit dem Code
eines Computerbetriebssystems,
nur enthalte die Bürokratie einen
großen Teil „weichen Code“ mit
Toleranzen, die von groben Ideen
gerahmt seien. Innerhalb dieser
Toleranzen, dem
Ermessensspielraum, brauche es die
richtigen „Mindsets“. „Ich
habe Hoffnungen, Mindsets aus der
Kultur- und Kreativwirtschaft
stärker für die öffentliche
Verwaltung zu gewinnen“, so der
Mannheimer.
Inspiration für seinen ersten
Workshop zu „Creative Bureaucracy“
zusammen mit dem
Kompetenzzentrum Kultur- u.
Kreativwirtschaft des Bundes
(KKKW) und dem Innenministerium
Baden-Württemberg im Jahr 2017 gab
Rack der persönliche Austausch mit
Charles Landry, einem
britischen Städteforscher, der das
Konzept der kreativen Stadt und
der kreativen Bürokratie
entwickelte. Landry meint, dass
Städte und Verwaltungen in Zukunft
nur lebenswert und erfolgreich
sein können, wenn sie ein
kreatives Potential ausbilden. Der
Zeitpunkt dafür sei genau richtig,
meint Rack: „Die öffentliche
Verwaltung steht aktuell vor der
Herausforderung, dass sie auch
personell einen Wandel vollziehen
muss – es gibt eben viele, die in
Pension gehen. Hier sehe ich einen
Slot, wie man mit der richtigen
Mischung vom Verwalten zum
Gestalten kommt.“
Vom Journalist zum
Verwaltungskreativen
Bevor er selbst in die
Thematik des digitalen Regierens
eintauchte, war Rack 15 Jahre
journalistisch tätig, unter
anderem als Video-Journalist
beim Rhein-Neckar-Fernsehen.
Seit 2011 beschäftigt er sich
intensiv mit den Themen Open Data
und Open Government und gewann
zunehmend Interesse an
öffentlicher Verwaltung und Fragen
zu Staatlichkeit, insbesondere in
gesellschaftlichen
Transformationen. Den
Berufswechsel habe er in seiner
Arbeitsweise nicht wirklich
gespürt. „Ich habe das Gefühl,
dass das, was ich mache, immer
noch Journalismus ist; ich bringe
die Dinge vor allem in ihren
Kontext zueinander“. Statt
Journalist nennt sich Rack nun
„Kontext-Broker“. Sein privates
Büro in Mannheim teilt er sich mit
dem Künstler Luigi Toscano.
„Durch dessen Projekt „Gegen das
Vergessen“ habe ich täglich die
Auswirkungen einer eskalierenden
Gesellschaft vor Augen“, so Rack.
An Visionen für ein
funktionierendes Gemeinwesen
angesichts von Herausforderungen
wie Klimawandel, Demographie oder
Zukunft der Arbeit fehlt es dem
50-Jährigen nicht. Da politisches
Handeln zum großen Teil auf der kommunalen
Ebene auf die
Lebenswirklichkeit der Menschen
treffe, sei es wichtig, dass
Themen auch hier gesetzt werden,
findet Rack. Hierzu eigne sich das
Prinzip Open Government – die
Öffnung von Regierung und
Verwaltung gegenüber der
Bevölkerung. Wissen,
Zusammenarbeit und Teilhabe sollen
in Prozessen sowohl offline als
auch online organisiert werden.
Schon lange macht sich Rack
deshalb für ein Netzwerk
regionaler
Open-Government-Labore
stark, um dort Open-Government zu
erproben.
Als Mitglied der
Strategiegruppe des
Open-Government-Netzwerks kämpft
Rack zudem auf nationaler und
internationaler Ebene dafür,
Regierungshandeln transparenter
und partizipativer zu machen. „Das
Thema Open Data muss zur
Wahrnehmung noch stärker mit
Sinn-Ebenen verknüpft werden.
Nicht nur durch Apps, Digitalen
Binnenmarkt und das große Thema
Transparenz, sondern entlang von
konkreten Handlungsfeldern wie
etwa der generationengerechten
Finanzierung oder der digitalen
Wohlfahrt“, erklärt er.
Einen konkreten Einblick in
die Kommunalverwaltung bekommt
Rack zusätzlich durch seine
Mitarbeit im Referat des
Oberbürgermeisters der Stadt
Heidelberg. Darüber hinaus
ist er Initiator und Koordinator
des Arbeitskreises
Open-Government-Partnership
Baden-Württemberg. „Dieser Mix
hilft mir, einen breiten und
ebenen übergreifenden Überblick zu
pflegen und Effekte einer ‚Blase‘ stark
abzumildern“, sagt er. Friederike
Moraht
Drei Fragen an Oliver Rack:
1)
Welche
Innovation wünschen Sie sich?
Innovation ist gut. Aber zunächst
sollten erfolgte Innovationen
erstmal beherzt umgesetzt und
genutzt werden. Ich sehe
beispielsweise hier und auf der
Welt immer noch viel zu wenig
Solaranlagen. Solarenergie ist der
Schlüssel zu vielen Antworten auf
unsere Herausforderungen,
schließlich stammen auch fossile
Energien von der Sonne. Wenn da
nicht alle Register gezogen
werden, und zwar global, sollten
wir uns jetzt schon mal über eine
Innovation für die alternative
Herstellung von unverzichtbaren
und hochwertigen Kunststoffen den
Kopf zerbrechen, wenn wir Erdöl
und Erdgas weggeraucht haben.
2)
Wer
aus der Digitalszene hat Sie
beeindruckt?
Da bin ich vergleichsweise
langweilig, also keine
For-those-who-know-Protagonistinnen
und -Protagonisten aus den Tiefen
der Cyber-Kultur. Ich würde sagen:
Allen, die sich in das
Google-Ökosystem (und in Folge
Alphabet) wegweisend eingebracht
haben, gebührt Respekt.
Stellvertretend wären das Larry
Page und Sergey Brin. Wen ich auch
nennen muss, ist Richard Stallman
– er hat sehr früh die Gefahr von
übergriffigen
Immaterialgüter-Juristen für die
Freiheit, Wissen in Computern
unabhängig von den Launen der
Software-Industrie zu verarbeiten,
erkannt und zum Beispiel mit dem
Betriebssystem GNU Maßnahmen
ergriffen. Dann noch Werner Koch
mit der Verschlüsselung GnuPG
sowie Andrea Halmos von der
EU-Kommission, die mit „A vision
for public services“ rechtzeitig
und geschickt Open Government in
die Arbeitsprogramme der DG
CONNECT injiziert hat.
3)
Als
Digitalminister würde ich…
.. mir Verbündete in Europa
suchen, um Elemente der
Staatlichkeit in der digitalen
Welt zu beobachten, sie zu
beschreiben und gegebenenfalls mit
Aufgaben der Infrastruktur,
Dienste und Regulierung zu
erfüllen. Gehören dazu auch
vernetzte Kommunikation und
Meinungsbildung, vernetzte
Kollaborationswerkzeuge sowie
Datenverarbeitung in der Cloud? In
einer Informationsgesellschaft
würde ich sagen: Ja. Zumindest
Basis-Dienste und die Moderation
von Standards. Ein großer Teil
unserer Meinungsbildung, Analysen
und geistigen Schöpfung gründet
auf solchen Diensten. Doch vor
Regulierung geht es um
Alternativen: Ich würde alle
Anstrengungen unternehmen, das
Google-Ökosystem zu klonen, die
nötigen Medienstaatsverträge
anzupassen (zumindest in
Deutschland) und damit eine
gebührenfinanzierte
öffentlich-rechtliche Alternative
in den europäischen Raum stellen.
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Ihr Background-Team
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Sebastian Christ |
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Paul Dalg |
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Viola Heeger |
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Matthias Punz |
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Lina Rusch |
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Miriam Schröder |
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Oliver Voß |
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Marie Zahout |
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- Fotohinweise -
Sopra Steria Consulting (Bernd Baptist), Ben
van Skyhawk (Oliver Rack) |
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